La mission de démissionner en est bien une.
Quand on est dans ces instants intenses où en même temps on gère ses problèmes quotidiens, sa future vie, son contrat à signer et sa démission à donner, et que les nuits sont bien courtes, il ne faut pourtant pas douter un instant ou encore effectuer le moindre faux-pas.
L'excellence de la réaction de mon chef canado-américain, la bonne ambiance du bureau en ce moment, les multiples projets qui démarrent et redémarrent, soudain tout apparaît "pas si mal" par ici et des sentiments de nostalgie peuvent créer le doute. Mais mon challenge est là bas, et le contact avec ma nouvelle société est agréable et fonctionne déjà.
Entre nostalgie et nouvel espoir, le 8 octobre restera donc dans les annales comme le 11 décembre précédemment, et constituant une date de rupture quoi qu'il en soit.
Le processus continuera demain avec remise de lettre aux autorités et envoi du dossier complet à Richemont.
Ciao
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